spAceLex aka Alexander Arpeggio is a Berlin based Dj and producer, co-founder of Frisbee Records alongside Albion Venables and Dea, the label is devoted to edition of electronic disco tracks, the infamous “Heavy Rotation series” that counts three releases up to now. spAceLex also runs Mond Musik on his own, re-releasing officially and reediting some obscure and sought-after german productions from late 70s to early 80s like Papertiger And The Catcammer Orchestra – In The Disko, Eiskalte Engel and the latest Der Gøtling – G-ZX LP which is a collaboration with Obermannkind, Dunkeltier (aka Sneaker DJ) and spAceLex, together they managed to restaure and reconstruct some tracks from an original tape, only 50 hand-numbered cassette copies of this underground minimal synth project where released back in 1986!
Wave
Chaque mois, en présence d’un guest, Les Yeux Orange vous présentent des nouveautés et avant-premières électroniques, ainsi que leurs meilleures perles oubliées.
Tsampikos Fronas aka June est un dj/producteur originaire de l’île de Rhodes en Grèce mais résidant actuellement à Berlin. En 2010 il lance son label éponyme pour sortir son premier EP June 01. Quelques semaines plus tard il signe un morceau sur le fameux label de Jamal Moss Mathematics Recordings aux côtés de Stabil Elite, Noleian Reusse et du français Violence FM sur la mini-compilation Music From Mathematics Vol.6. En 2011 c’est l’heure du premier album Cytheria sorti sur le label allemand These Days dont le sampler en maxi, très recherché désormais, contient deux remixes du révéré DJ Sprinkles.
Yan Wagner est un producteur et dj franco-américain né à Paris. Dès l’adolescence, fortement inspiré par DAF, Depeche Mode ou Joy Division, il est clavier dans différents groupes amateurs. En 2007, il fonde, avec son acolyte Adrien Gémonet, le duo Chairs on Backs. Ils signent un unique EP, Perverts Teens, sur le label parisien Missive. Le projet s’essouffle ; Yan s’envole par la suite pour New-York pour rédiger une thèse sur l’histoire du clubbing, il s’y aguerrit sur scène dans des petits clubs, son projet solo se précise, et, de retour à Paris, il signe le titre Recession Song sur un “various artists” du label parisien deBonton, également playlisté sur une compilation Kitsuné. Il enchaîne alors les dates dans les clubs de la capitale.